Le Chic – Été 2013


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    [panel title=”Mot de bienvenue”]

    Vous trouverez, dans cette section du site de l’École de langue française et de culture québécoise, les créations littéraires produites par les étudiants et étudiantes de la session d’été 2013. Appréciez leur plume en vous informant sur de multiples sujets tous plus intéressants les uns que les autres. Bonne lecture!

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    [panel title = “Droog, Alissa”]

    L’histoire des édifices à Chicoutimi

    Quand je suis arrivée à Chicoutimi, je ne savais pas qu’il y avait une histoire aussi riche. J’ai découvert beaucoup d’édifices historiques. Il y a trois édifices que je préfère: la cathédrale St-François-Xavier de Chicoutimi, l’ancien bureau de poste et le premier magasin général. J’encourage toutes les personnes à visiter ces édifices.

    D’abord, la cathédrale de Chicoutimi est mon édifice favori. Elle fut bâtie pour la première fois en 1878 et elle a brûlé  dans le grand feu de Chicoutimi en 1912. Un autre feu a détruit la Cathédrale en 1919. Maintenant, la troisième cathédrale, bâtie en 1922, est l’église d’aujourd’hui. J’ai visité la cathédrale pour une messe et elle est très, très belle. Spécifiquement, j’adore la rosace (la fenêtre circulaire).

         J’ai regardé aussi l’ancien bureau de poste de Chicoutimi à côté de la rivière Saguenay. L’édifice bâti en 1905 est maintenant un bureau pour la Banque Royale du Canada (RBC). L’édifice est immense et est très important dans l’histoire de Chicoutimi.

         Le dernier édifice que j’adore à Chicoutimi est le premier magasin général. Quand j’ai habité à Chicoutimi pour Explore, j’ai habité dans cette maison. L’édifice est grand à l’intérieur et il y aura prochainement des rénovations à l’extérieur. J’aime vivre dans une si vieille et belle maison à Chicoutimi et la vue de ma fenêtre sur Chicoutimi-Nord est très belle. Ma chicoutimère m’a dit que le magasin a ouvert en 1901 et est fermé depuis 1970. Maintenant, l’édifice est une maison pour ma chicoutimère, une famille, mes trois compagnons de chambre et moi .

    Les édifices à Chicoutimi sont très beaux et j’espère que vous les aimerez aussi.

     

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    [panel title = “Malik, Hajira”]

    La cuisine québécoise

    La cuisine du Québec est très diversifiée.  Une grande partie de la cuisine est riche en graisses, parce que le climat est très froid.  La cuisine française québécoise a été influencée par les colons.  Les français, les anglais, les immigrants et les amérindiens ont contribué à l`héritage culinaire du Québec.  Il y a beaucoup de régions dans le Québec.  Un plat classique québécois est la  poutine.  La poutine est un bol de frites couvertes de sauce et mélangées à du  fromage.  Le créateur de la poutine est Fernand Lachance. La poutine origine du Québec rural des années 1950.  Un autre plat québécois est la tarte au sucre.  La région du Saguenay fabrique son fromage. Il est très délicieux!  La cuisine du Québec est diversifiée et il y a quelque chose pour tout le monde.

     

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    [panel title = “Naimpour, Sara”]

    Le diable populaire

           Bonjour tout le monde, je souhaite que vous soyez tous de bonne humeur aujourd’hui. Ce que vous avez entendu était un morceau du groupe Belzébuth qui s’appelle Le Faubourg de St-Laurent.

    Belzébuth, ça signifie « le diable ». Eh oui! Je sais que la plupart d’entre vous, avez peut-être pensé que ce Belzébuth était associé à la chanson Belzébuth du groupe Les Colocs, un groupe rock fondé à Montréal en 1990. Mais je crois que le diable est très populaire au Québec, car les deux ne sont pas reliés du tout! Le groupe Belzébuth se constitue de six musiciens qui viennent de Lanaudière, au nord-ouest de Montréal, Québec. Il a commencé à composer ses chansons en 2002 et a performé dans plusieurs pays du monde comme la Suisse, la France, la Belgique, l’Azerbaïdjan et, bien sûr, le Canada. Sa musique est un mélange des chansons folkloriques du Québec avec les rythmes modernes.

    Ayant commencé comme débutant et par bouche à oreille sur l’internet, Belzébuth a présenté son premier spectacle officiel en mai 2002. Enfin, le groupe a enregistré son premier album en 2004 et a commencé à être connu. Les six musiciens du groupe jouent différents types d’instrument comme du violon, de l’accordéon, de la mandoline, de la guitare, de la basse et des percussions. Belzébuth a aussi performé dans plusieurs festivals de musique folklorique dans le monde.

    Alors, on vous invite à les écouter encore une fois. Voici la chanson Paradis sur terre par Belzébuth.

     

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    [panel title = “Riley, Will”]

    Will va à la boutique de B.D.

    La façon que les bandes dessinées québécoises sont distribuées, et donc sont écrites, est tellement différente du style des Etats-Unis et une grande partie du Royaume-Uni. Où les B.D. américaines sont distribuées mensuellement, les Québécois suivent la mode Franco-Belge avec des bandes-dessinées de format plus grand qui ont beaucoup plus de pages, mais aussi une plus grande attente entre les publications.  La plupart des B.D. américaines sont en couleur, mais dans le style québécois, ce sont habituellement les livres pour les enfants qui utilisent la couleur et les livres plus matures qui utilisent le noir et blanc.

    Dire qu’un livre québécois est approprié pour les enfants n’est pas exactement la même chose que de dire qu’il est immature. La plupart du temps, les B.D. « pour les enfants » sont tellement plus matures au niveau du sujet, parfois même plus que les B.D. adultes du monde anglophone. Il y a plus de chances que les B.D. de style Franco-Belge utilisent plus des thèmes sexuels, de la violence et du sang que les livres destinés aux enfants anglophones.

    Aux temps modernes, il y a beaucoup de Québécois qui écrivent des histoires pour enfants pour un public international. En comparaison aux bandes dessinées francophones des autres pays, les B.D. québécoises sont plus humoristiques et ironiques. C’est un Québécois qui écrit Les Nombrils pour le magazine Spirou, un des plus populaires magazines francophones de B.D. pour enfants. Également, il y a El Spectro, un hommage aux films mexicains des années 50 et 60 de luchador, avec tous les ennemis ridicules inclus comme les extra-terrestres de la lune ou les vampires et sorcières.

    Également, une autre série québécoise un peu plus adulte qui reçoit un accueil positif des Critiques est Paul. Dans cette série, l’écrivain Michel Rabagliati chronique la vie ordinaire de Paul, sautant à une période de temps différente à chaque publication. Paul peut être marié à une fille dans un livre et avoir 13 ans dans le prochain. Paul s’intéresse aux petits détails du quotidien et pense toujours à l’ambiance. Rabagliati ne s’inquiète pas de faire un rythme lent ou d’ajouter les détails, au risque d’être inutile, pour faire que l’histoire soit plus réaliste. En fait, les détails dans Paul sont si complexes et réalistes que c’est assez difficile de ne pas croire que Rabagliati ne l’écrit pas comme semi-autobiographie.

    Bien sûr, les gens ne doivent pas lire seulement les livres réalistes s’ils veulent une B.D. québécoise adulte. Il y a Red Ketchup qui, tout comme El Spectro, s’amuse avec sa nature ridicule. Contrairement à El Spectro, enfin, Red Ketchup tire son humour du fait que son histoire tend vers le coté sombre, mais si extravagamment qu’il se trouve au point de la satire. Il retrace la vie de Red Ketchup, un agent albinos du FBI qui est vétéran de la guerre du Vietnam, et sa bataille hyper-violente contre les trafiquants de drogue. Il y a beaucoup de « Red » dans ses luttes exagérées, mais, certainement, il ne dérive pas du « Ketchup »! Satire des héros d’action des films américains, les actions de Red sont toujours plus extrêmes (ou bizarres) que nécessaire tel que d’arrêter et battre un joueur de football présumé criminel en plein milieu d’une émission de télévision nationale et courir à la zone des buts.

    Le monde des bandes dessinées québécoises est diversifié, drôle, parfois réaliste ou ridicule, mais mérite bien toujours une lecture.

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    [panel title = “Scruton, Conor”]

    Les mots simples, un grand impact

    Dans une région riche avec une grande variété d’art, cela n’est pas une surprise qu’on n’ait pas besoin de s’échapper de Chicoutimi pour le trouver. Un bon exemple est le poète québécois Carol LeBel.

    Carol LeBel est né à Québec en 1949. Après avoir complété un baccalauréat en philosophie à l’Université Laval, il a étudié la culture polonaise à l’Université de Varsovie en Pologne. LeBel est retourné au Québec et a enseigné la philosophie au Cégep de Chicoutimi pendant plus de trente ans.

    À cette époque, ce poète, avec une affinité pour les haïkus japonais, a animé plusieurs ateliers sur ce sujet et sur la poésie en général le menant à publier le recueil Errances : haïkus. « Le haïku doit être rond, avoir une forme parfaite, être enrobé par une sorte de musique », a expliqué LeBel. « Parfois, ça tombe comme un fruit mûr, mais souvent c’est plus difficile. »

    De surcroît, LeBel a publié onze livres depuis 1982 dont l’œuvre de fiction Petites éternités où nous passons qui a gagné le Prix du Salon du livre du Saguenay-Lac-Saint-Jean en 1997. Plus tard, LeBel a gagné le même prix deux fois encore dans la catégorie de la poésie avec Clapotis du temps en 2003 et La nuit est un objet étrange en 2008.

    Toujours un porte-parole pour la région, LeBel est un membre fondateur et administrateur de l’Association professionnelle des écrivains de la Sagamie-Côte-Nord, laquelle travaille afin de promouvoir la littérature du Saguenayet du Lac-Saint-Jean.

    La poésie de LeBel a tendance à être plus simple que compliquée, peut-être parce qu’il s’inspire régulièrement de la nature du Québec et du Saguenay. « Il y a mon jardin, les étoiles aussi », a dit LeBel. « Je parle de ce qui est près de moi. Je suis comme cela. Je veux être un témoin. »

    Malgré qu’il soit retourné habiter à la ville de Québec depuis quelques années, LeBel est encore actif dans l’art et la culture du Québec et du Saguenay. Quand LeBel ne participe pas aux soirées et ateliers de poésie, son influence demeure dans la province par ses œuvres.

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    [panel title = “Kalson, Aneeq”]

    Les Trois Accords: en direct à Chicoutimi!

    Le 5 Juillet 2013 à Chicoutimi, c’était un grand spectacle du groupe Les Trois Accords. Les Trois Accords est un groupe Québécois trèspopulaire au Canada. Ils ont joué un concert gratuit pour célébrer le 175e anniversaire de Chicoutimi. A 22h, il y a beaucoup de personnes qui attendent à côté de la scène pour le groupe. Finalement, à 22h30, le groupe est arrivé. Je suis arrivé à ce moment. Comme je marchais à travers le public, le groupe est entré en scène. En conséquence, le public est devenu très bruyant.

    Pendant une heure, Les Trois Accords ont joué beaucoup de leurs chansons et le public avait beaucoup d’énergie pendant tout le spectacle. J’étais au centre de la foule, mais j’avais une bonne vue de la scène. C’était un spectacle très amusant. Ils ont joué beaucoup de chansons populaires et ils recevaient une bonne réponse du public. Pour les chansons entrainantes, toutes les personnes dansaient, et pour les chansons légères, toutes les personnes chantaient. De plus, c’était une scène et un éclairage très élaborés ce qui améliore le spectacle.

    Après le spectacle, j’étais un peu fatigué et un peu « alcoolisé », mais la majorité du public est resté là en chantant «olé, olé olé olé», et voilà, le groupe revenait! A ce moment, le public était un peu moins dense donc j’ai forcé pour me rendre devant la foule. Ils ont fait un rappel avec deux ou trois chansons et, après ça, le spectacle était terminé. Après tout, c’était un très bon spectacle. C’est possible que Les Trois Accords soient meilleurs en direct que sur CD. Dix sur dix pour ce spectacle de Les Trois Accords.

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    [panel title = “Barter, Virginia”]

    La famille McLaren de Chicoutimi au Saguenay

           Chicoutimi, avant la fusion avec Jonquière et La Baie créant Saguenay, était surtout connu par l’ancienne dénomination Ville de Chicoutimi qui avait absorbé en 1976 les secteurs de Chicoutimi, Rivière-du-Moulin et Chicoutimi-Nord.

           La ville de Chicoutimi a été fondée en 1842 par Peter McLeod, Jr., un Métis qui était descendant d’un père Ecossais et d’une mère Montagnaise.  La principale industrie de la région à ce temps était la foresterie.  Beaucoup de scieries ont été construites le long de la rivière par Peter McLeod et William Price, un entrepreneur d’Angleterre qui a développé un empire commercial qui couvre les régions du Saguenay, du Saint-Laurent et de la rivière Outaouais.  Il est devenu, en quelque sorte, « le père industriel du Saguenay ».  La ville de Chicoutimi a grandi très vite pendant le 19e siècle et, aujourd’hui, elle est la plus grande ville dans la région du Saguenay.

    Toutefois, avant cette époque, il y a une autre histoire…

           Les Montagnais étaient les premiers occupants de cette région.  Le poste de traite de Chicoutimi a été construit en 1671 et est devenu officiellement le chef-lieu du réseau du commerce des fourrures dans le Domaine-du-Roy en 1676.

           Le mot Chicoutimi vient des deux mots montagnais tcheko (enfin) et timi (profond). Les sauvages, descendant du lac pour se rendre à Tadoussac, en arrivant au bas de la battue, devaient naturellement pousser ce cri : « Oh! Tcheko timi, », enfin c’est profond. Etant très peu utilisé, le « t » a disparu à l’usage.

           Je suis devenue intéressée par l’histoire de Chicoutimi quand j’ai appris que le premier maire de Chicoutimi était David McLaren, en 1855.  David McLaren était mon arrière-arrière grand-père.  En fait, son père, Neil McLaren, était le chef du Fort Chicoutimi pendant l’époque de la traite des fourrures de 1800-1804.  Neil McLaren était aussi le fondateur de Port-au-Persil dans Charlevoix le long du fleuve St-Laurent.

    Les noms McLaren, Price et McLeod sont des noms de rues que l’on trouve à Chicoutimi aujourd’hui.

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    [panel title = “Chen, Michael”]

    Saguenay vert: « Construire l´avenir » avec du bois

            En regardant la télévision à Chicoutimi, une annonce publicitaire m’est apparue. C`est une annonce de la ville de Saguenay. Elle décrit que Saguenay est « un chef de file dans l`utilisation du bois »; Ce n`est pas loin de la vérité.

          En 2010, la ville de Saguenay était devenue la première municipalité à signer la résolution de la Coalition BOIS Québec, une organisation qui favorise l’utilisation du bois pour soutenir l’économie du Québec. La ville a promis de favoriser l`utilisation du bois dans la construction de bâtiments non résidentiels comme des hôtels de ville, des bibliothèques, des arénas et des pavillons. Dans un communiqué de presse, la Ville dit qu’elle veut être d’avant-garde par rapport à toutes les villes quant à l`utilisation du bois.

           Présentement, il y a des bâtiments de ville déjà construits avec le bois de la région. Ces bâtiments incluent le pavillon du Parc de la Rivière-du-Moulin, le Port Saguenay de la Baie des Ha! Ha!, le Centre Georges-Vézina (aréna) et le Centre jeunesse du Saguenay-Lac-Saint-Jean. Il y a d’autres bâtiments en progrès incluant les places publiques (au centre-ville à côté de la bibliothèque de Chicoutimi et aussi à côté de la rivière aux Sables par exemple). Maintenant, la construction de la bibliothèque de Jonquière, faite à partir de bois, est presque finie. Elle sera terminée en septembre 2013.


    L`Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) a répondu à ce besoin avec une nouvelle addition à leur programme de génie civil. Prenant effet dès août 2012, les étudiants doivent prendre deux autres cours obligatoires sur le matériau bois avec leurs autres cours. Dans un article publié dans UQAC en revue, Sylvain Ménard, professeur au département des sciences appliquées, a dit que l`utilisation du bois dans les édifices est bon : « Le bois est un matériau qui offre une bonne résistance au feu et un excellent confort acoustique. Il est chaleureux, esthétique et, surtout, à masse égale, il est le matériau de structure le plus résistant. »

           Les autres avantages de l`utilisation du bois dans la construction sont énormes. En utilisant du bois dans la construction des édifices, des tonnes d’émissions de gaz à effet de serre sont évitées. Le bois est une ressource naturelle renouvelable retrouvée dans les forêts du Québec. Dans ce cas, il est durable pour l`environnement parce qu`il permet de réduire la dépendance au béton et à l`acier. Il est écologique et économique parce que le bois offre une meilleure isolation thermique.

    Dans les années à venir, la ville de Saguenay deviendra une place plus belle et verte avec les bâtiments publics construits grâce au bois de la région.

    Michael Chen étudie le journalisme à l’Université Ryerson de Toronto. Il était un étudiant de l`École de langue française et de culture québécoise à l’UQAC pendant l`été 2013.

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    [panel title = “Keitz, Liam”]

    Festival d’été de Québec

    Chaque an, les rues de Québec sont inondées avec des personnes de monde. Pendant 11 jours en juillet, il y a plus de 100,000 personnes qui sont allées au Festival d’été de Québec avec les 300 spectacles musicaux. Cette année, ces personnes sont allées regarder des groupes comme The Black Keys, Bassnectar et Wu-Tang Clan. Quand le festival fondé en 1968, il était concentré sur les groupes francophones, mais maintenant le festival a augmenté de taille.  Cet année, il y a des groupes de France, du Mexique, et du Mali alors ce festival est vraiment international et il y a un spectacle pour tout le monde. Malgré beaucoup des bons artistes, il y a beaucoup des autres spectacles au festival d’été de Québec. Ce festival est fier de présenter les arts de la rue ; par exemple le théâtre d’objets volants, les performances acrobatiques et le théâtre musical. De surcroît à ces performances, vous êtes dans les rues de Québec ! Si vous ne voulez pas regarder les spectacles sur les dix scènes dans les rues de Québec, vous pouvez explorez la belle ville de Québec. Vous verrez l’histoire riche de la capitale de la Nouvelle-France ! C’est un festival qu’on ne peut pas manquer.

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    [panel title = “Melhem, Saif”]


    Le festival REGARD sur le court métrage au Saguenay

     

           Le festival REGARD sur le court métrage au Saguenay est un festival québécois fondé par l’organisme à but non lucratif Caravane Films en 1996. C`est un festival international de courts-métrages qui prend place à Saguenay (Chicoutimi et Jonquière) et Alma, Québec, Canada. Caravane Films est le principal regroupement d’artistes multidisciplinaires dans le domaine du cinéma et de la vidéo indépendants de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean.

           Chaque année, le festival présente les films participants au public et aux membres du jury. Il y a plusieurs prix pour les films nationaux et les films internationaux. Ces prix sont remis par Promotion Saguenay, le festival REGARD et les commanditaires du festival. L`objectif du festival est de « […] faire connaître, promouvoir et développer le court métrage en tant que forme cinématographique singulière. »

           Cette année, le festival a duré cinq jours, du 13 mars au 17 mars, et plusieurs films ont été présentés. Entre autres, des films qui sont nominés aux Oscars comme Henry de Yan England nominé pour l’Oscar du meilleur court-métrage de fiction.

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    [panel title = “Woodward, Dylan”]

    Le Manga

    Le mot japonais « manga » est souvent traduit littéralement par « image dérisoire » ou « dessin non abouti ». « Mangaka » est le nom des artistes qui dessinent le manga. Il est soumis aux rythmes de parution très rapides, et ne bénéficie pas toujours d’une liberté totale sur son œuvre selon la réception auprès du public. Si le manga connaît un fort succès, l’auteur devra prolonger son histoire, même s’il voulait la terminer.

    Le manga a commencé au Japon. Pendant la deuxième guerre mondiale, les Américains ont apporté leurs bandes dessinées au Japon et puis les Japonais ont changé le style d’art et créé le manga. Le manga est devenu très populaire après la deuxième guerre mondiale parce que les Japonais ont aimé les bandes dessinées et qu’ils l’ont popularisée très rapidement. Beaucoup de Mangakas ont commencé à créer pendant et après la guerre.

    Les mangas se lisent souvent dans la direction inverse des bandes dessinées, de droite à gauche, ce qui correspond au sens de lecture des japonais.

    Le quotidien japonais Mainichi a estimé que environ  60% de la population du Japon lit au moins un manga par semaine et que c’est une activité économique importante.  Bonzai!

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